13 - Une affaire de Hozen.

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L'ordre de mission fut clair et précis de la part des deux plus hauts gradés: le maire de Micolline avait demandé notre aide afin de repousser un envahisseur bien dérangeant pour les récoltes.

Les Hozens, des créatures sauvages aux instincts primaires que la Horde rencontra jadis au temps de Hurlenfer. Selon les rapports, ils vivent en meute dirigé par un mâle dominant se distinguant de par sa force bestiale et sa cruauté.

Nous partîmes au coucher du soleil en direction des falaises au nord-ouest où divers pavillons furent installés pour la récolte de légumes. De là, nous avions commencés notre enquête dans la vieille ferme surplombant toutes les autres: C'est là-bas que fut aperçut l'un de ses hozens.

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Au final, il y en avait bien un, caché dans le cabanon servant de lieu où entreposer les réserves. Malheureusement aucun de nous ne parlait le douk, la langue grossière de ces primates. En n'ayant pas cette connaissance l'interrogation fut des plus longues et plus ennuyeuse que j'ai dû supporter durant ce séjour. Je choisi de m'isoler et songer aux paroles de Natalie Seline tandis que les autres plus qualifiés à supporter les grognement de la créature.

Ce fut finalement l'optique de blesser l'animal qui fut décidée: Blessée et apeurée, la bête quitta les lieux en laissant derrière-lui des traces de sang. Beaucoup d'entres-nous avaient pensés que de cette façon il nous amènerait à son nid. Là où la meute se trouvait.
Le groupe se sépara en deux: Les plus prudents -dont moi- prirent un chemin naturel, plus lent certes, mais plus sûr pour rejoindre le sommet de la montagne. Pour les autres ce fut l'escalade. L'une de ses elfes avait pisté la créature qui montait du haut des plus hautes falaises.

Au bout d'une longue heure, nous nous retrouvâmes en haut, constatant une immense forêt de bambous.
En fouillant dans la pénombre jusqu'à minuit, ce fut la découverte d'une vieille bicoque abandonnée au beau milieu de nulle-part.
Nous savions qu'une présence accablait l'endroit. Nous étions en territoire ennemi.

Puis soudain, une armée de singes violents et férocent surgirent du ciel, nous encerclant avec rapidité.
Un hozen immense portant une armure en cuir nous avisait de son regard noir, tandis qu'un vieux primate l'accompagnait.

Ce fut la pandaren du groupe qui défia l'alpha, après avoir écouté les conseils de plus malins de notre ordre: si l'alpha contrôle la meute, peut-être qu'en le tuant cela changera-t-il notre malchance.
Elle débuta le combat, avec rage et violence. Le Chef remarqua au bout d'un long combat éprouvant qu'il perdait peu à peu la victoire, et dans un excès de rage, elle lui donna le coup final. Il tomba à terre, laissant celle-ci debout, victorieuse.

Le vieux hozen s'approcha et l'auto-proclama grand Douk. Même si mes attentions d'en faire de bons soldats ne marcha pas, MeiMei elle ne s'empêcha pas de les menacer de partir et de laisser Micolline en paix.

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Ils rentrèrent épuisés, donnant rapport aux Souverains de l'Organisation. Moi je ne comprenais toujours pas quel était notre intérêt à aider ces autochtones.